La grogne sociale monte dans les entreprises
“Sur la question des salaires la grogne monte partout. Les grilles de salariales sont dévaluées. Est-ce qu’on veut à ce point démotiver les membres de l’encadrement ?”
“Sur la question des salaires la grogne monte partout. Les grilles de salariales sont dévaluées. Est-ce qu’on veut à ce point démotiver les membres de l’encadrement ?”
À l’approche des présidentielles, le patronat veut connaître les programmes économiques des différents partis.
Au quatrième trimestre, le nombre de chômeurs, au sens du Bureau international du travail (BIT), en France (hors Mayotte) a atteint 2,2 millions de personnes, soit 189 000 de moins sur le trimestre.
Comité de pilotage ministériel, proposition de loi, collectif professionnel : les initiatives plus ou moins formelles se multiplient pour endiguer le fléau du démarche abusif.
La lutte contre le Covid-19 a entraîné la mobilisation de moyens publics “d’une ampleur inédite” et “cet effort considérable va durablement peser sur le déficit et la dette publique”, prévient la Cour dans son traditionnel rapport annuel.
Après avoir avoir mis un terme à l’obligation de porter le masque en extérieur, aux jauges dans les lieux recevant du public assis et au télétravail obligatoire le 2 février, le gouvernement franchit une nouvelle étape dans la levée des restrictions sanitaires ce mercredi.
Ce vendredi, le premier ministre Jean Castex en a appelé au Medef pour forcer quelques branches sectorielles à augmenter leurs minima salariaux. Sur Europe 1, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a expliqué le phénomène était marginal et que l’organisation patronale n’avait pas le pouvoir d’obliger ces branches à augmenter les salaires.
Selon le dernier baromètre de l’Apec, 25 % des entreprises qui projetaient de recruter des cadres ont dû renoncer à le faire, pour au moins un poste. Cette proportion monte à 34 % pour les ETI et grandes entreprises.
Le Gouvernement avait promis de sévir contre le démarchage abusif et la fraude au CPF. À cette fin, un premier comité de pilotage a été réuni le 9 février par la ministre du Travail Élisabeth Borne et son homologue chargé des Comptes publics Olivier Dussopt.
En un an, la plateforme anti-discriminations a enregistré 14.000 sollicitations, dont plus de la moitié ont débouché sur une saisine et un traitement par des spécialistes. Ils sont sollicités en premier lieu pour des conflits basés sur les origines ou le handicap.